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Page créée le 23 mai 2003 et actualisée le 14 mai 2005 |
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Un CM170 en bordure de mer ! Que fait-il là ? Où-est-il ? Photos récentes prises le 23 mai 2003 ! La réponse je l'attends... et bien elle est arrivée presque deux ans après...le 12 janvier 2005 !
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Photo ci-dessous prise le 12 janvier depuis la salle de réunion sur le lieu de travail de Momo... |
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Il est vrai que l'on trouve plus sordide en matière de qualité d'environment dans la vie professionnelle. Toutefois la beauté du lieu n'efface pas le travail à accomplir dans la journée mais dans cet exemple particulier, il est probable qu'en plein été, l'envie d'aller se jeter dans la mer en passant devant le Fouga doit être grande ! Tout cela pour dire que trop de bien-être doit exiger, en contre-partie, une conscience professionnelle sans faille. La petite histoire de ce Fouga remonte à quelques années alors que le médecin de l'établissement, un ancien de l'Aéro-Navale avait souhaité la présence de ce CM170 Fouga-Magister sur son lieu de travail situé non loin de Perpignan. Malheureusement le médecin décédé en 1996 n'a jamais pu admirer son avion préféré car il fut assemblé plutard en 1998 par deux Sous-Officiers de l'Armée de l'Air. Alors que ce Fouga fasse rêver Momo je n'en doute pas un seul instant, à tel point que lorsque je l'interroge sur un éventuel planeur à construire, la réponse n'est pas ferme : Momo rêverait aussi à la maison ...? Mais revenons au Castel-Mauboussin. Vous noterez au passage que le pilote en place arrière utilise un périscope pour voir devant car les deux pilotes sont au même niveau. |
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Le numéro 222 sur le nez signifie que notre Fouga est équipé de deux réacteurs Marboré II de 400 kg de poussée chacun. Ce réacteur tourne à 22500t/mn, ce qui était plutôt difficile à supporter pour le bidasse "rampant" que j'étais jadis sur la base de Mérignac. Les deux fameux réservoirs, outre l'augmentation du rayon d'action, ont contribué à accroître la finesse qui est passée à 14, ce qui est excellent pour un avion de ce type. Les pilotes - assis sur leur parachute, devaient passer sur le dos (l'avion encore manoeuvrant) pour une évacuation car le Fouga ne possédait pas de siège éjectable. Mais moi je m'éjecte et - sans parachute, car j'en ai assez dit pour ce soir ! Bonne nuit ! GR |