Journée Planeurs à l'OMAT.... |
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Bonjour aux amoureux de la grande voilure, Tout comme les lecteurs des GPR, je suis un passionné des grandes ailes qui caressent les cumulus aux manches de nos radios. Gérard me fait aujourd'hui l'amitié d'une invitation à écrire quelques mots sur le site que je consulte depuis mes débuts en aéromodélisme. C'est donc avec la plus légère de mes plumes que je vais vous rendre compte de notre dernière séance de vol en grands planeurs, dans le ciel montpelliérain. Ce vendredi, comme à l'accoutumée depuis quelques années maintenant, Jacques a convié notre petite équipe de GPR à exploiter la fenêtre météo idéale qui s'annonçait. A son appel, arrivent des pilotes de tous horizons : Héraultais, Gardois, Aveyronnais, des Bouches-du-Rhône et parfois de plus loin. Et tous ces passionnés convergent vers le terrain de l'OMAT situé au Sud-Ouest de Montpellier, entre vignes et garrigue. |
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Remerciements à tous mes amis pour leur aide précieuse car sans eux plus de Grands Planeurs ! Gérard
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< C'est Mika qui parle dans le poste Enfin, pas toujours le même qui cause !
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Vidéo 1 |
Vidéo 2 |
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Le soleil réchauffe juste la matinée quand les premières voitures passent le portail du parking pour se ranger aux abords des tables de montage et c'est toujours le sourire aux lèvres que nous occupons cette aire de détente conviviale. |
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Un point de fraîcheur très apprécié lorsque les beaux jours arrivent: le cabanon, l'oasis de l'OMAT ! |
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La solide tradition du bob chez les vélivoles ne peut exclure d'autres couvre-chefs à la condition de ne pas trop altérer la visibilité du pilote. |
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C'est le vaillant remorqueur d'Olivier qui va remorquer notre K13 bleu et jaune |
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Les derniers contrôles de Fabien |
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Pour la séance du jour, Fabien a choisi l'ASK13, récemment baptisé. Un planeur né des mains de Jean-Pierre V., qui n'est plus à présenter dans le monde du GPR et qui confie : "K13 toujours au top dans les mains de Fabien, ça fait plaisir de retrouver ses "enfants" après autant d'années". JPV |
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Le moment est venu de démêler cette sacrée ficelle pour relier les deux aéronefs |
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Ici Mika toujours disponible pour faciliter la vie de ses copains |
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Visiblement Olivier a mis les gaz et l'attelage part rejoindre les beaux cumulus parsemés dans le ciel Languedocien |
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le B4 de Mika en attente mais pas pour longtemps... |
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lui aussi confronté aux préparatifs qui seront les plus brefs possibles car le moteur du remorqueur tourne... |
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la patience d'Olivier est telle que tout se déroule dans une compréhension mutuelle |
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Le K13 achève son vol gentiment en caressant la piste. On le retrouvera sur la video 1 |
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tout comme cette scène captée par le micro drone de service |
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Tous solidaires et bienveillants envers nos pairs, un binôme de gaillards sera toujours là pour assurer le transport des grosses machines jusqu'à la piste. |
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Gérard arme son SHK flanqué des caméras qui rapporteront les images vues du ciel illustrant cette page |
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C'est toujours un instant de plaisir de voir décoller son planeur. Et c'est Jacques qui est aux manettes du remorqueur. Merci Jacques ! |
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L'air frais qui entre dans la cabine par le hublot est aussi un moment très appréciable en particulier l'été lorsque la température devient incommodante. Admirez la couleur des "prairies" qui entourent le terrain... |
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Toutes ces constructions n'existaient pas dans les années 60-70 |
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et progressivement des habitations sont sorties de terre... |
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Sous cet angle on retrouve l'aspect des années 60 |
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Jacques remorque mais il plane aussi et c'est une chance pour nous tous |
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Olivier s'apprête à le remorquer tandis que Mika, encore lui, est en piste pour accompagner le planeur un joli Ventus de 6 mètres... |
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... qu'il a électrifié pour être - en cas de besoin - autonome |
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Pendant ce temps le SHK poursuit son vol jusqu'au moment où l'envie de revenir sur terre ne se fasse sentir. En pareil cas rien de plus simple, il suffit de basculer d'un cran un micro-inter et plouf un petit parachute jaillit en restant accroché au planeur. Les sensations aux manches sont alors un peu différentes : le planeur augmente sa pente naturelle et garde ainsi une confortable maniabilité. Sa vitesse est stabilisée, dans ces conditions pas question d'espérer accélérer. C'est parfait pour descendre lorsque l'on est un peu haut et que l'on craint les survitesses et les flutters qui les accompagnent. |
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Gentil, coq'licot mesdames - Gentil, coq'licot nouveau... |
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de retour sur terre, le coquelicot n'a pas survécu...Il aime le grand air : lui aussi ! |
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" Merci messieurs !" je ne le dirai jamais assez |
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Encore quelques spirales observées d'en-haut |
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et toujours d'en-haut le hangar de l'OMAT et son parking qui est propriété depuis peu de l'association. A bientôt pour une prochaine journée planante. Et merci à Mika pour sa contribution rédactionnelle avisée ! GR |
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