Le Zugvogel de Louis... |
|
Page publiée le 30 janvier 2009 et actualisée le... |
|
|
1 - les couples sont assemblés « en l’air », en dehors de tout chantier. A l’arrière de l’aile, les couples sont en CTP de balsa léger 2 fois 30/10èmes, fibres croisées. Si on met du CTP à la place, s’attendre à prendre au moins 1 kg en retour, voir plus….Les longerons du fuselage eux sont en pin. |
2- on voit bien sur cette photo les « quilles » qui de bas en haut contournent tout le fuselage, et facilitent aussi le montage. Le plancher est en CTP 20/10èmes. A ce stade, on penserait plus à un squelette de diplodocus, mais la suite vous prouvera qu’il n’en est rien ! |
|
|
3- l’avant du fuselage reçoit un bordé fait de baguettes de balsa. Celui-ci contribue à la rigidité de l’avant du fuselage. |
4- ce bordé est ensuite poncé et fibré. |
|
|
5 - l’articulation est réalisée avec de la CAP 8/10èmes, guidée dans une gaine plastique dans la partie mobile, et traversant des paliers en époxy. C’est très léger et sans jeu, ou très peu. On voit sur la partie mobile au passage des paliers du CTP 6/10ème : cela évite que l’articulation ne s’abîme : on conserve du « dur » sur du « dur » entre les parties mobiles en contact. Pour démonter l’articulation, il suffit de retirer la corde à piano. |
6 -on voit ici la commande aller-retour par tiges de carbone. Les chapes permettent le démontage de la gouverne mobile de direction. |
|
|
7 A ce stade de la fabrication "le gros oeuvre" on commence à apprécier la forme et les volumes de la cellule |
8 Vue latérale du Zugvogel |
|
|
10- La cabine et mise en place du servo de largage |
11- La plateforme qui reçoit les ailes a été moulée sur la voilure, et
ensuit fixée sur les fuselage (cf traces de résine micro-ballon visibles par
transparence). Quand on pose les ailes sur le fuselage, il n’y a aucun
jour….. |
|
|
12- Préparation pour le moulage sur place du cadre de verrière. Réalisé en mèches de carbone |
13 - Détail avant moulage du cadre de verrière. Avec des formes comme celles-ci, il est pratiquement indispensable de mouler le baquet. J’ai donc réalisé ce moule avec des bouts de balsa et du scotch marron, de façon à obtenir une gorge dans laquelle viendrait prendre place tissus de verre, résine, mèches de carbone et micro-ballon. |
|
|
14- Le baquet de verrière étant de section faible, il n’en doit pas moins être le plus rigide possible. C’est pour cela que la mèche de carbone aide bien : en mettre au moins 2 tours ! |
15- pour le master, on se débrouille avec ce que l’on a. Mais le balsa facile à travailler est bien pratique : c’est pour cela que je l’utilise toujours dans ce cas, même si c’est certain, cela revient plus cher que du polystyrène. |
|
|
16 - finition et ajustement du master de la verrière |
17- Le dessous de la verrière est évidé pour limiter la consomation de balsa. |
|
|
18- Afin d'éviter lors du thermoformage les effetes de bord, il convient de prolonger d'environ 15 mm la forme du master. Cette opération est réalisée après l'ajustement parfait du master sur la cellule car il ne sera plus possible de présenter à nouveau ce dernier |
18-1 et voilà : si les gens du nord « ont dans les yeux le bleu qui manque à leur décor », et bien ils savent aussi mouler des verrières : la preuve ! Merci au club d’Amiens !! |
|
|
19 - le baquet de verrière est ensuite recouvert d’oracover. |
|
|
|
20-ceci n’est pas un cendrier, mais un moule pour le capotage de commande d’aileron ! |
21-commande d’ouverture de la verrière : simple, discret et efficace |
|
|
22- Le tableau de bord peint généralement en noir mat ou peinture anti-reflets |
23-et bien cela, c’es la soute à lest : le planeur étant prévu pour être léger, j’ai construit juste au niveau du centre de gravité de quoi augmenter l’inertie sur trajectoire de la bête, par l’ajout de gueuses de plomb. |
|
|
24- commande de la profondeur et son assise avant finition. |
25-l’assise de la commande de profondeur étant insuffisante, j’en ai augmenté la surface |
|
|
26- vue de profil du fuselage, au niveau de l’emplanture de l’aile. |
27- vision de la structure du fuselage à l’aplomb de l’aile : le support de l’aile est formé verticalement de 2 flancs, assis sur les couples de fuselage et surmontés d‘une plateforme en CTP, sur laquelle fut ensuite collée l‘assise moulée. L’ensemble de l’assise de l’aile est donc à la fois costaud et bien solidaire du fuselage. |
|
|
28 - Première mise en croix du Zugvogel : un grand moment ! |
29- on aperçoit à
l’arrière de la verrière les BTR de maintien de l’aile. De plus, avec une clé
allen, on ne risque pas de « riper » au vissage et d’abîmer l’aile. Et une clé
allen, cela ne tient pas beaucoup de place. Le fuselage est entoilé au diacov
ensuite enduit et peint. |