Le K7 de Louis... |
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Page publiée le 11 août 2011 et actualisée le ... |
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Bonjour Gérard, |
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S01 : j'aime les décorations simples (notamment à réaliser...) et efficaces. Le rouge et le blanc, sur un planeur se marient toujours assez bien. Fuselage et ailes ont été entoilés au Diacov. L'entoilage du fuselage donne un aspect "coupé à la serpe", tout à fait conforme à l'original. De l'extérieur, on a pleinement l'illusion d'un fuselage en tubes. |
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S02 ou S04 : le dessus du nez a été peint au pinceau à la glycero. Le secret pour obtenir une belle finition : ponçage à l'abrasif doux, et passage des dernières couches bien diluées. J'avais essayé de faire le dessus du nez au vinyl, mais l'exercice s'est vite relevé périlleux ! Les bouts d'ailes eux sont fait à l'Oracover, mais les 2 couleurs rouges se marient à peu près parfaitement ! |
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S06 |
S05 : on voit la forme générale de l'aile. Les parties seulement entoilées n'ont pas été peintes, laissant ainsi apparaitre la structure de l'aile. Les petits trous, à côté des AF représentent les trappes d'accès aux dits aérofreins. Pour sortir le servo par en dessous, il faut d'abord défaire la chappe ... sur le dessus. |
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S07 : petite devinette : où se situe le dévérouillage de la verrière... visible sur la photo ! Pas évident je vous l'accorde. |
S08 : cette photo fait clairement apparaitre à la fois le diédre de l'aile et la flèche inverse de celle-ci. Cette flèche inverse était faite pour compenser l'avancement du centre de gravité du à la disposition en tandem des deux pilotes. En pratique, cela confère une excellent maniabilité sur l'axe de lacet ! |
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S09 : les deux verrières sont articulées, et permettent un plein accès à l'intérieur du planeur. |
S10 : installation radio : le plus important pour moi, ce n'est pas qu'il y ait des pilotes dans le cockpit, mais que les différents éléments soient rapidement et facilement accessibles, mais également que les commandes des gouvernes aient un guidage le plus adéquat. Changer le quartz est facile, et si quelque chose ne va pas avec un servo on le voit facilement. |
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S11 : emplanture côté fuselage. On visualise sur le dessus, la trappe d'accès permettant de placer le caoutchouc ou le ressort qui permettra de solidariser les ailes entre elles. Cette trappe se trouve verrouillée automatiquement lorsque la verrière du passager arrière est refermée... |
S12 : emplanture du l'aile. La prise de servo est libre côté aile, fixe côté fuselage. Leur connexion se faire lorsque on met en place l'aile. Il n'y a pas de fil qui pend sortant de l'aile. En effet, ce genre de prise pendante risque fort d'être arrachée lors de quelque manipulation. En cas de collision, l'aile s'écarte légèrement, mais la prise reste branchée..... ce qui reste utile tant que l'aile n'est pas coupée en deux par le choc ! |
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S13 : trappe du dessus du fuselage ouverte : on relie les deux ailes avec des élastiques ou bien un ressor : c'est simple et fiable. On aperçoie les charnières pour articuler la verrière. Trés discrètes elles sont faites maison, avec de la CAP 0,8 mm, de la résine et du tissus de verre, et un peu de CTP 0,6 mm... |
S14 : vue de l'aile d'un peu plus près. On aperçoit clairement le contour des AF, et la trappe d'accès. |
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S15 : les empennages, avec la petite "croix suisse" sur la dérive. En observant bien, on aperçoit sous l'avant du stab une cale. Une dernière mesure du Vé longitudinal avant le premier vol mit en évidence une valeur trop élevée. Le premier vol le confirma ! |
S06 : la verrière a demandé pas mal de travail. On a 3 pièces à ajuster : la verrière de la place avant, et les deux parties de la verrière arrière. Il faut pas mal de patience et de d'attention pour ne pas tout gâcher, mais le résultat en vaut la peine ! Les planeurs de l'époque étaient faits ainsi, avec la place du commandant de bord incrustée jusqu'au premier tiers avant de l'aile. |
La suite bientôt ! |
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