Eauze 2009
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E-mail de Michel du 25 août 2009
Salut Gérard
Voici quelques beaux clichés réalisés par mon ami P.Nard. A+ Michel
Merci Michel, merci à Philippe ton photographe : c'est excellent ! Comme je n'ai aucune information pour chaque photo, j'ai mis mes commentaires, mais cela ne suffit pas. J'invite donc les propriétaires de chaque planeur à me communiquer les caractéristiques essentielles en me rappelant le numéro du cliché car chaque photo est numérotée. Un bon moyen d'éviter les erreurs et vous faire encore participer à cette belle rencontre ! Me donner aussi votre club, nom et prénom. Seul le prénom est mentionné si tel est votre désir. D'avance merci. GR |
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1 - Pour varier les plaisirs... |
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2 - Pas de féria possible sans eux : ici le remorqueur Burda de Frick Andréas s'apprêtant à tirer dans le ciel de Gascogne une noria de planeurs. |
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| 3 - ... comme celui-ci qui semble bien pourvu côté voilure ! | |
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4 - L'Espagne n'est pas loin à vol d'oiseau comme de planeur, aussi les grands thèmes populaires sont transposés à notre activité avec bonheur. Un exemple de bon slogan ! |
5 - Dans le Gers, comme ailleurs - il peut arriver de rattraper son ombre |
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6 - Des ombres étranges aussi, car à Eauze le soleil fût particulièrement ardent |
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7 - Et se protéger Jacques - l'homme au chapeau de paille - avait senti le vent venir si je puis dire. Ici en plein effort car il faut se baisser, il maintient l'aile du Kobuz de Michel pour un décollage imminent |
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8 - Planeur non achevé, ce n'est pas grave : - "Je le fais voler et s'il vole bien, il méritera une belle déco ! " |
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9 - Pour notre C25s venu de Normandie, pas question de se montrer sans le "maquillage". Pour plaire il faut être belle ! |
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10 - Dans quel sens tourne cette aile ? Se rapproche-t-elle de l'objectif ou bien l'inverse ? Une mise au point automatique possible qu'avec du matériel de "pro". Merci le photographe. J'aimerais bien connaître l'équipement ! GR |
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11 - Sans "déco" pour elle aussi, l'AV22. Mais puisque l'aile vole bien, je ferai la déco à la rentrée ! |
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12 - Une fois peinte et décorée cela peut donner ceci ! Et détail qui n'en est pas un : le pilote ! Superbe ! |
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13 - Alors que les nostalgiques se contentent de voir évoluer paisiblement leur maquette, d'autres recherchent d'accroître leur débit d'adrénaline. Preuve que lorsque l'on pratique le planeur et le grand planeur en particulier, les choix sont variés et il y en a pour tous les tempéraments sans exception ! |
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14 - On dit parfois "J'ai fais fumer les bords d'attaque" lorsque l'on veut traduire un vol à grande vitesse. Mais ici ce sont les saumons qui fument ! Et bien dans mon cas, cela me fait penser qu'une bonne bouteille de blanc - bien au frais - attend son heure pour accompagner un bon saumon ... fumé ! Non, non, pas sur la tête elle n'a jamais été aussi fragile ! |
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15 - Ici on ne plaisante pas ! Volets sortis, AF d'intrados et d'extrados en action je suppose, visiblement ce 17 veut se poser et sa "urge". Ca arrive parfois lorsque le vol a été long... Vous voyez, avec un pilote réaliste et non une peluche comme on en voit parfois, un vélivole ne pourrait faire la différence entre la maquette et le vrai. Et c'est cela qui pourrait nous fasciner ! Et bien il s'agit d'un ASW 17 Rennais d'Antoine - au 1/3 de 6.66m et 16 Kg, construction personnelle. "J'ai essayer de le faire le plus maquette possible, avec les AF intra et extrados volet et carénage de commande sur l'extrados (c'est qui lui donne tout son look)" nous dit Antoine. |
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16 - A Eauze ce qui compte ce n'est pas l'age du planeur, encore moins celui du pilote, mais une passion sans faille pour tout ce qui plane. Pas très compliqué à comprendre et je serais tenté de dire : " Ce qui permet la mise en valeur d'un vieux "bois et toile" c'est la présence à ses cotés, d'un tout "plastock" - comme aiment les appeler ceux qui les détestent. Et le raisonnement inverse tient la route - lui aussi - car cela permet - à tout moment - de prendre conscience de l'évolution du vol à voile et de son histoire. Et pour en rajouter une couche, pour ceux qui on le béret bien enfoncé, je dirais qu'un jour tous ces planeurs "modernes" deviendront des vieux machins qui feront sourire la nouvelle génération. En conclusion, le bon sens exige du respect mutuel, en particulier entre constructeurs. Et si critiquer l'activité de l'autre est une nécessité pour vous afin de mettre en avant vos "qualités supposées", sachez qu'il existe d'autres moyens plus glorieux de vous affirmer. |
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17 - Pour se faire plaisir et s'affirmer dans l'art du pilotage, rien de tel qu'un bon planeur de voltige. Il a été conçu pour cela, l'esthétique est donc très différente car les plans doivent avoir le moins possible d'effets secondaires. Les bras de levier sont courts, l'ensemble est compact car souligné par des allongements très modérés. |
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18 - Lorsque l'on veut accroître la finesse d'un planeur, il n'y pas trente six paramètres sur lesquels on peut agir. Le principal c'est l'allongement de l'aile puis ensuite les performances du profil. A ce jeu, certaines contraintes viennent rapidement calmer la "folie" du concepteur. Je veux parler des matériaux capables d'offrir une résistance mécanique suffisante aux sollicitations d'une aile en vol. L'exemple extrême c'est le célèbre ETA. |
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19 - L'idée de supprimer le stabilisateur et la poutre qui va avec, est une idée séduisante. C'est ce à quoi Charles Fauvel a cru toute sa vie. Un concept qui ne permet pas d'atteindre de grandes finesses, mais de voler avec un planeur peu encombrant et facile à démonter. |
20 - Pour débuter et espérer durer dans ce loisir il est préférable de ne pas brûler les étapes. On débute avec un deux axes si on est un modéliste solitaire ou bien un trois axes de moins de trois mètres en double commande. Ensuite on passe gentiment au quatre mètres et si tout va bien on peut envisager son premier GPR. Mais tout cela prend du temps et c'est bien ainsi. Ne soyez pas trop pressé ! |
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21 - Pour Michel, qui est un excellent pilote avion et planeur, faire voler un grand planeur est une nouvelle étape assez récente pour lui. Pas d'étape franchie sans avoir exploré toutes les possibilités offertes. Des bases solides donc pour faire le saut avec toutes les chances de réussite. Dans le cas contraire et cela se voit vite, on peut devenir un pilote dangereux. A éviter ! |
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22 - S'il fallait élire la maquette de l'année, c'est pour le Bravo-India que je
voterais. Bravo Jean-Claude ! Petit rappel aux organisateurs de
rencontres. |
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